Easyvest plonge dans le portefeuille de ses clients pour raconter des vraies histoires d'investissement. Premier épisode: Anne, 54 ans, qui a investi 10.000€ en 2017 et qui, grâce à ses efforts constants d'investissement, se retrouve aujourd'hui à la tête d'un capital de plus d'un million d'euros.
Anne*, 54 ans, mariée, employée dans une ONG internationale
Investissement initial: 10.000€ en septembre 2017
Portefeuille: 9
Valeur actuelle du portefeuille: 1.040.000€
Total investi au cours du temps: 645.000€
Profit total: 395.000€
C’est un ami à moi qui m’a conseillé Easyvest, car il connaissait l’un des fondateurs et était convaincu par l’investissement indiciel. Personnellement je n’y connaissais pas grand-chose – pour ne pas dire rien du tout ! – mais cette recommandation par un proche que je considère être un “renard de la finance” a suffi à me mettre en confiance, même si Easyvest n’existait que depuis une bonne année à l’époque.
J’ai toujours travaillé dans l’humanitaire, la plupart du temps comme expatriée à l’étranger. A un moment donné j’ai commencé à mieux gagner ma vie – à un certain niveau d’expérience, les organisations internationales paient plutôt bien – mais j’ai réalisé que mes droits à la pension allaient être dérisoires. Je n’avais donc pas le choix: il fallait que je capitalise pour ma retraite future.
Oui, car je savais que l’écart à combler entre ma pension “acquise” et mes objectifs était vraiment important, et je n’avais pas une grosse somme à investir au départ. L’idée était donc d’investir au rythme de mes rentrées financières.
Aujourd’hui je suis salariée, mais j’ai longtemps travaillé à la mission, c’est-à-dire que je pouvais avoir un trou de 3 ou 4 mois entre deux missions à l’étranger. Je n’avais donc pas de rentrées fixes qui pouvaient justifier un investissement récurrent, et je devais me garder un petit “coussin” pour les moments d’inactivité. Dorénavant mes revenus sont plus stables, mais je garde cette flexibilité. Il m’arrive de transférer d’un coup mon treizième ou mon quatorzième mois, puis rien pendant une plus longue période.
Comme tout le monde, j’ai eu un peu peur pendant le Covid, mais j’ai tenu bon et je n’ai pas bougé. Je n’avais pas besoin de cet argent à ce moment-là, donc il n’y avait pas de raison de liquider mon portefeuille. Les communications d’Easyvest à cette période étaient de nature rassurante, comme les échanges individuels que j’ai eus avec mon gestionnaire.
Oui, mais avec des montants bien moindres. Aussi, j’ai récemment acheté un appartement, mais j’ai préféré liquider un contrat d’assurance-vie un peu “ronronnant”, je veux dire par là, investi avec un faible niveau de risque et donc de rendement, plutôt que de vendre une partie de mon portefeuille Easyvest.
C’est ce qui m’a été recommandé compte tenu de ma situation et de mes objectifs de long terme, et je ne le regrette pas. Au moment du Covid, j’ai pensé ouvrir un second portefeuille plus défensif mais en discutant avec mon gestionnaire, j’ai finalement écarté cette possibilité qui allait aussi donner lieu à des frais plus élevés. Nous avons convenu qu’il serait plus judicieux de continuer à alimenter mon portefeuille 9, mais que nous en diminuerions progressivement le niveau de risque à l’approche de la pension.
La plus importante à mes yeux, c’est la disponibilité de l’équipe de gestion. Je reçois toujours et quasiment dans la minute des réponses claires et précises à mes questions. Pour moi qui suis de nature plutôt anxieuse et impatiente, c’est vraiment la clé de la confiance. Comme j’investis pour ma retraite future, je ne suis pas vraiment dans la légèreté : je mets la fin de ma vie dans cet investissement, mais je ne veux pas que l’avenir soit un stress permanent. De ce point de vue, le mode de gestion proposé par Easyvest est très apaisant: c’est transparent, efficace et il ne faut pas s’y connaître pour comprendre.
De mon point de vue – et en dehors d’Easyvest! – il y a deux types de gestionnaires: ceux qui font partie de “grosses machines” pour qui vous restez toujours anonyme, et les conseillers patrimoniaux qui sont constamment dans la séduction et qui vous coûtent très cher. Ce manque de neutralité, pour moi, est parfaitement insupportable.
Dans mon cas c’est très clair: j’ai énormément voyagé, accumulé des petites enveloppes-pension dans plusieurs pays, souvent dans des monnaies étrangères, pour finalement me rendre compte que je ne toucherais pas grand-chose. Plutôt que d’être dans une logique de “saupoudrage”, j’ai récupéré l’argent qui dormait à l’étranger et j’ai commencé à investir activement avec Easyvest comme partenaire principal. Cela me donne enfin une vue claire et rassurante sur mon avenir financier.
*Pour des raisons de confidentialité, un prénom d'emprunt a été utilisé lors de la retranscription de cet entretien.