Niels Bohr, Prix Nobel de Physique, déclarait ironiquement : «Faire des prédictions est très difficile, surtout s’il s’agit de l’avenir». Prédire le futur est impossible.
Cependant nous pouvons simuler des milliers de scénarios de marché futurs possibles et probables, en fonction du comportement des marchés financiers observés par le passé.
Ensuite, en regroupant ces simulations, on peut regarder le top 10% des simulations qui retournent le meilleur rendement: c’est le scénario que nous qualifions de «marché fort». En d’autres termes, nous estimons qu’il y a 10% de chance, que le rendement final soit supérieur à ce scénario. C’est un scénario optimiste.
On regarde aussi les 10% des scénarios qui retournent le plus mauvais rendement. C’est le scénario pessimiste du «marché faible». Nous estimons qu’il y a 10% de chance (ou de malchance) que le rendement réellement obtenu soit en-deçà de ce scénario.
Finalement, on regarde le scénario médian, c’est-à-dire celui qui se trouve au milieu de tous les autres. C’est le scénario de «marché normal». Nous estimons que c’est le scénario qui a le plus de chance de se réaliser.
Dernière mise à jour le 19/10/2022