Pierre Vanobbergen, 23 ans. Domicile : Bruxelles. Titre : Full Stack Developer.
Oui ! J’ai commencé par y faire un stage en 3ème bachelier Informatique. En fait Matthieu me l’avait déjà proposé avant, mais je n’étais pas encore assez sûr de moi à ce moment-là : j’ai préféré faire mes armes ailleurs avant d’y mettre un premier pied. Et puis cette année, la dernière de mes études marquée par le Covid et donc avec pas mal de temps à tuer, on m’a proposé un second projet, que j’ai accepté avec plaisir.
Le fait qu’on te fasse confiance à 100% dès le premier jour, peu importe ton degré de séniorité. Quand je suis arrivé il y a deux ans on m’a dit : il faut qu’on développe une application mobile, tu as quatre mois devant toi, construis-nous quelque chose ! Je suis parti de zéro, il fallait développer une app qu’on puisse maintenir dans le temps et qui soit compatible avec Android et iOS. J’ai travaillé comme un fou et après 3 mois, j’avais une V1. Quand Charles et Matthieu m’ont dit qu’ils allaient envoyer un e-mail aux clients et qu’on a vu les téléchargements commencer, ça a vraiment été une immense satisfaction.
Il y en a eu plusieurs mais du point de vue des clients, le plus important est sans doute la « re-création » de DocuSign, cette application permettant de signer des PDF. C’était une énorme priorité pour easyvest afin de faciliter l’expérience client, mais pour diverses raisons il nous était impossible d’utiliser une solution existante. J’ai donc codé moi-même notre propre solution d’e-signature, qui est quasiment opérationnelle.
Je n’y pense pas en tant que telle, mais je pense à mon futur. Je suis conscient du fait qu’il faut investir dès maintenant pour assurer son avenir. Dès que j’aurai un revenu stable, j’en investirai une partie.
L’idée me plaît mais en même temps, je me demande si je ne préférerais pas continuer à me former. Mes années d’études sont passées très vite et aujourd’hui, je me sens avant tout généraliste, bon dans ce que je fais mais pas extrêmement bon dans quelque chose en particulier. Pourquoi pas suivre une formation complémentaire en cybersécurité, en intelligence artificielle ou en machine learning ? Pouvoir traiter des gros sets de données, c’est devenu une compétence-clé.
Note: Cet article a été rédigé lorsque Easyvest était autorisée et régulée par la FSMA en tant qu’agent en services bancaires et d’investissement.