Géraud Missonnier, 38 ans. Domicile: Uccle. Titre: Wealth Manager.
Disons que j’ai toujours aimé ça ! Quand j’étudiais à la Sorbonne à Paris, il y a plus de 15 ans, j’ai lancé un club d’investisseurs qui spéculait sur les devises. Le fonctionnement était très simple: après avoir investi chacun 1.000€, on se réunissait dans un petit resto une fois par semaine avec le Financial Times et Les Échos sous le bras pour décider des positions à prendre. On le faisait en amateurs, j’étais le seul titulaire du compte, et on ne s’est pas trop mal débrouillés !
Un des membres du club avait monté une structure plus tard rachetée par Saxo Bank, et c’est comme ça que j’ai ensuite moi-même intégré la banque. Chez Saxo, j’étais spécialisé dans le day trading et j’organisais régulièrement des webinaires sur le sujet : des stratégies beaucoup plus risquées que la gestion indicielle… Ensuite, j’ai fait mes armes comme banquier privé à la Banque Transatlantique, entre autres, avant de rejoindre Easyvest.
J’avais déjà rencontré Matthieu et Corentin il y a plusieurs années lors d’un événement, donc je suivais l’évolution d’Easyvest de loin. Quand l’opportunité s’est présentée de rejoindre l’équipe, je n’ai pas hésité longtemps ! Dans les banques privées traditionnelles, on a évidemment la possibilité de se construire une belle clientèle… mais on peut aussi assez vite tourner en rond. Ce qui m’anime ici, c’est de faire grandir l’activité, d’être une force de proposition au sein de l’équipe et de participer activement à la réalisation des ambitions d’Easyvest.
Vu mon passé de boursicoteur, j’investis environ deux tiers de mon patrimoine en lignes directes et un tiers en ETF. Mais c’est clair que c’est un choix qui demande du temps, des connaissances et un appétit pour le risque que tout le monde n’a pas !
Je suis un organisateur. J’adore organiser des événements, faire se rencontrer des gens, passer des bons moments en groupe. Aussi, je suis un grand passionné de tennis. J’ai commencé à 3 ans avec mon frère jumeau et je n’ai jamais arrêté de jouer ni de suivre le tennis mondial. J’essaie d’aller chaque année à Roland Garros… Enfin, en bon Franco-Belge, je m’intéresse aussi d’assez près à l’œnologie et à l’histoire de France.